« Médecines » douces ou alternatives : des insuffisances dans le respect de la réglementation

De plus en plus de Français se tournent vers des pratiques ou « médecines » dites « douces », « non conventionnelles », « alternatives » ou « complémentaires », telles que l’hypnose, l’acupuncture, la réflexologie ou encore l’aromathérapie pour soulager certains maux du quotidien.

Ces prestations sont-elles dispensées par des professionnels qualifiés ? Les allégations sur leurs effets sont-elles justifiées ? Le patient dispose-t-il de toute l’information nécessaire lorsqu’il décide d’avoir recours à ces pratiques ?

Réponses par la DGCCRF

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